24 Heures du Mans
18 au 20 juin 2020
Cette année les 24 Heures du Mans fêtes leur 80ème anniversaire. Un géant dans le monde des événements sportifs avec ses racines dans les origines de l'histoire de l'automobile et dont la longévité est due à la réussite de chaque année.
Les Audi n'ont pas failli à leur réputation. Comme on pouvait s'y attendre, Audi a dominé la 80ème édition des 24 Heures du Mans. Onzième victoire pour le constructeur allemand dans la Sarthe et un retentissant triplé, non sans classer ses quatre voiture dans le top 5. Il n'empêche, sans réelle concurrence depuis le retrait des deux Toyota TS 030 Hybrid officielles, les R18 e-Tron Quattro et Ultra n'ont pas été épargnées par les ennuis, à tel point que les retours au stand ont été légion. Il n'empêche, les pilotes officiels Audi, même s'ils n'ont pas été épargnés, ont assuré l'essentiel, Lotterer-Fässler-Tréluyer poursuivant sur leur lancée de 2011 pour imposer la R18 e-Tron Quattro n°1, entrant ainsi dans l'histoire comme le premier équipage à faire triompher une mécanique de type hybride au Mans.
Alors qu'on les attendait plus menaçantes que jamais sur la distance, les R18 Ultra ont souffert, Dumas / Duval / Gené laissant pas mal de temps dans un crash apparemment causé par une trace d'huile, tandis que Jarvis / Bonanomi / Rockenfeller n'ont pu qu'assurer le triplé des Audi, étant renvoyé à 3 tours.
Derrière les Audi, l'équipe suisse Rebellion Racing a tenu son rang, Prost / Heidfeld / Jani positionnant leur Rebellion Toyota à une belle 4ème place finale. Ils ont eu le mérite de devancer une des Audi officielles. Belle prestation également de la HPD JRM, qui a fait preuve de fiabilité, tandis que la seconde Rebellion Toyota, de Belicchi / Bleekemolen / Primat, 11ème du général, a été l'ultime LMP1 privée plus ou moins épargnée, contrairement aux formations Oak Racing, Team Pescarolo, voir Strakka Racing.
En LMP2, la HPD Starworks Motorsport a tenu bon jusqu'au bout, créant une certaine surprise en venant à bout des Oreca 03 des formations Thirliet by TDS Racing et Pecom Racing, tandis que Signatec Nissan échoue au pied du podium
Si la spectaculaire DeltaWing Nissan a été contrainte à l'abandon sur accrochage, dans les rangs des GT de pointe, Ferrari est le grand gagnant de cette 80ème édition. La Ferrari 458 AF Corse de Fisichella / Bruni / Vilanders s'imposant avec 3 tours de bon sur l'italienne de l'équipe Luxury Racing, emmenée par Makowiecki / Melo / Farnbacher.
Enfin, en GTE-Am, Corvette s'est consolé en voyant l'équipe Labre Compétition venir à bout de la Porsche IMSA Performance Matmut.
Les Audi n'ont pas failli à leur réputation. Comme on pouvait s'y attendre, Audi a dominé la 80ème édition des 24 Heures du Mans. Onzième victoire pour le constructeur allemand dans la Sarthe et un retentissant triplé, non sans classer ses quatre voiture dans le top 5. Il n'empêche, sans réelle concurrence depuis le retrait des deux Toyota TS 030 Hybrid officielles, les R18 e-Tron Quattro et Ultra n'ont pas été épargnées par les ennuis, à tel point que les retours au stand ont été légion. Il n'empêche, les pilotes officiels Audi, même s'ils n'ont pas été épargnés, ont assuré l'essentiel, Lotterer-Fässler-Tréluyer poursuivant sur leur lancée de 2011 pour imposer la R18 e-Tron Quattro n°1, entrant ainsi dans l'histoire comme le premier équipage à faire triompher une mécanique de type hybride au Mans.
Alors qu'on les attendait plus menaçantes que jamais sur la distance, les R18 Ultra ont souffert, Dumas / Duval / Gené laissant pas mal de temps dans un crash apparemment causé par une trace d'huile, tandis que Jarvis / Bonanomi / Rockenfeller n'ont pu qu'assurer le triplé des Audi, étant renvoyé à 3 tours.
Derrière les Audi, l'équipe suisse Rebellion Racing a tenu son rang, Prost / Heidfeld / Jani positionnant leur Rebellion Toyota à une belle 4ème place finale. Ils ont eu le mérite de devancer une des Audi officielles. Belle prestation également de la HPD JRM, qui a fait preuve de fiabilité, tandis que la seconde Rebellion Toyota, de Belicchi / Bleekemolen / Primat, 11ème du général, a été l'ultime LMP1 privée plus ou moins épargnée, contrairement aux formations Oak Racing, Team Pescarolo, voir Strakka Racing.
En LMP2, la HPD Starworks Motorsport a tenu bon jusqu'au bout, créant une certaine surprise en venant à bout des Oreca 03 des formations Thirliet by TDS Racing et Pecom Racing, tandis que Signatec Nissan échoue au pied du podium
Si la spectaculaire DeltaWing Nissan a été contrainte à l'abandon sur accrochage, dans les rangs des GT de pointe, Ferrari est le grand gagnant de cette 80ème édition. La Ferrari 458 AF Corse de Fisichella / Bruni / Vilanders s'imposant avec 3 tours de bon sur l'italienne de l'équipe Luxury Racing, emmenée par Makowiecki / Melo / Farnbacher.
Enfin, en GTE-Am, Corvette s'est consolé en voyant l'équipe Labre Compétition venir à bout de la Porsche IMSA Performance Matmut.
| Pos. | N° | Pilote / Co-pilote | Voiture | Team |
| 1 | 1 | Fässler / Lotterer / Tréluyer | Audi R18 e-Tron Quattro | Audi Sport Team Joest |
| 2 | 2 | Capello / Kristensen / McNish | Audi R18 e-Tron Quattro | Audi Sport Team Joest |
| 3 | 4 | Bonanomi / Jarvis / Rockenfeller | Audi R18 Ultra | Audi Sport North America |
| 4 | 12 | Prost / Jani / Heidfeld | Lola B12/60 Coupe - Toyota | Rebellion Racing |
| 5 | 3 | Dumas / Duval / Gené | Audi R18 Ultra | Audi Sport Team Joest |
| 6 | 22 | Brabham / Chandhok / Dumbreck | HPD ARX 03a - Honda | JRM |
| 7 | 44 | Potolicchio / Dalziel / Kimber-Smith | HPD ARX 03b - Honda | Starworks Motorsports |
| 8 | 46 | Beche / Thiriet / Tinseau | Oreca 03 - Nissan | Thiriet by TDS Racing |
| 9 | 49 | Perez Companc / Ayari / Kaffer | Oreca 03 - Nissan | Pecom Racing |
| 10 | 26 | Panciatici / Ragues / Rusinov | Oreca 03 - Nissan | Signatech Nissan |
